Football – Le FC Étoile fête son centenaire

Repoussées de deux ans à cause de la crise sanitaire, les festivités du centenaire du FC Étoile Reichshoffen pourront enfin se tenir cette année. Le 10 septembre, à l’Espace Cuirassiers, le club organise une soirée musicale avec Robin Léon et les Willerthaler.

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La première équipe du FC Étoile Reichshoffen, en 1920. / ©DR

Lors de cette soirée, en plus de la musique, les fêtards pourront aussi se régaler. Au menu : bouchées à la reine, dessert et café, le tout proposé par un traiteur local. Les places sont limitées. Il faut réserver au 06 83 85 33 21. Marie-Andrée Wambst, secrétaire du club, lance un nouvel appel aux inscriptions : « Nous attendons jusqu’à 300 personnes, il reste des places ».

Le lendemain, le club organise un repas, où de nombreuses personnalités marquantes de son histoire seront invitées. Des bénévoles -anciens ou actuels-, des gloires du club, des joueurs ou encore des officiels de la Ligue y seront conviés.

Le point de vue sportif

La saison dernière, les deux équipes séniors du FC Étoile Reichshoffen sont montées. L’équipe première, entraînée par Marega Cheikhou, directeur sportif, et Christophe Mehl, son adjoint, est passée de D5 à D4. L’équipe réserve, entraînée par Olivier Scheibel, a décroché le titre de son groupe en D8, lui permettant de monter en D7. « Ces performances sont un véritable plus pour notre club », se satisfait le président Christian Wambst.

En plus de ces résultats, l’équipe une s’est hissée en finale de la coupe De Dietrich. « Nous avons réussi à nous qualifier contre des équipes qui étaient trois ou quatre échelons au-dessus de nous », souligne le président. Mais Reichshoffen s’est finalement inclinée en finale contre son voisin Gundershoffen, un pensionnaire de R3. Pour cette nouvelle saison, l’objectif n’a pas changé : continuer de monter.

« La D3 pour notre équipe fanion, c’est bien. Au-delà, ça deviendra trop compliqué à gérer, reconnaît Christian. Nous cherchons de nouveaux licenciés, des bénévoles et des sponsors. Il y a un gros manque de personnes qui s’investissent », conclut-il.